Partager l'article ! Apprentissage du français: Tout a commencé en début de soirée quand cette fameuse élève de mon cours informel de francais m'envoit un courr ...
Tout a commencé en début de soirée quand cette fameuse élève de mon cours informel de francais m'envoit un courriel pour me proposer de venir faire un peu d'italien en mangeant chez elle. Cool ! J'accepte sans tarder. Mais je passe chez moi avant. J'ai dans l'idée d'aller courir. Je la rejoindrai donc chez elle. À 21h. Parfait.
Je rentre vers 20h. Il pleut. Il pleut ? Comment cela se fait-il ? Ne faisait-il pas beau tout à l'heure ? Bah, peut-être pas, je n'ai pas fait bien attention... Donc il pleut. Et puis il fait froid. Normal on est quand même en décembre. Vais-je toujours courir, moi, ces nouvelles données en mémoire ? Ben ouais. Je suis bien motivé, là, faut que j'en profite ! Avec un p'tit pull et un bon survêt, ca devrait le faire. Et de fait, ça le fait. Bon, il ne pleut pas à verse non plus. Juste une petite pluie fine. Je vais courir sur la digue, toujours éclairée. Qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il vente. J'ai croisé trois autres coureurs, qui étaient ensemble visiblement. À part ça, pas un chat. Normal, les chat ça n'aime pas l'eau. C'est bien connu. J'ai froid aux n'oreilles. Non pas que je courre suffisamment vite pour le déplacement d'air refroidisse ainsi mes pavillons auditifs, mais c'est ce petit vent sur le côté. D'ailleurs je n'ai froid qu'à une oreille. Du côté du vent. Je boucle la chose en 21'50". Pas mal. Sachant que ça fait 10 jours que je n'ai pas fait le moindre exercice !
En rentrant, étirements, puis douche, puis j'y vais. Elle habite à dix minutes de chez moi. J'emmène mon cadeau. Je prends aussi des capotes ? Noooon, j'déconne... Il pleuviotte toujours. J'arrive chez elle un peu apres 21h : chez les italiens, on fait comme les italiens, peut-être le prendraient-ils mal si on arrivait à l'heure... Appart sympa, plus grand que chez moi. Elle me prête les chaussons de son copain, qui est à Munich en ce moment. J'enlève donc mes pompes humides. Elle est en train de préparer a manger. Je lui offre son cadeau, elle est contente. Moi aussi. Elle me fait la bise. Ça dérape, on s'embrasse, je suis dans ses bras, elle dans les miens, le temps s'arrête. Un baiser fougueux qui dure... l'éternité... Pas besoin de savoir parler italien pour embrasser... Le divan est tout proche, ça dérape encore... Une envie soudaine, brutale, bi-latérale. Brutale, certes, mais chaque geste dure une heure. Je savoure. Elle aussi. J'ai une vague pensée pour son copain. C'est pas cool quand même. La pensée s'evapore. Je serre son corps contre moi. Je l'effeuille délicatement, elle se laisse faire, comme hypnotisée par le désir. Elle se laisse faire et me rend la pareille, me voilà en train d'être épluché moi aussi ! Sa peau nue frémit sous les caresses de mes mains... Ne lui restent que quelques sous-vêtements. Ses chaussettes aussi. Je me retrouve bientôt dans le même état...
Je découvre ce corps inconnu, mais j'imagine, j'ai même rêvé une fois qu'elle était nue à côté de moi. Je convoite ses petits seins, tout mignons. Je déccroche son soutien-gorge - non sans mal ! Non pas que le mécanisme italien est différent du français, mais je manque un peu d'entraînement ces temps-ci - pour découvrir ce trésor. Trésor que j'explore avec délicatesse. Ma bouche quitte momentanément la sienne pour se pencher sur ces monts de plaisir. Qui, comme s'ils appréciaient la caresse, se dressent de plus belle vers le ciel. Petits seins, tout beaux, tout fermes... Ses mains à elle explorent mon corps à moi. J'adore sentir le contact de ses mains toutes chaudes sur mon corps, sur ma peau toute nue. Les caresses se prolongent dans le temps, dans l'espace. Plus rien n'a de sens que Elle, son corps brûlant, le temps se dilate... Les caresses finissent par lorgner un endroit précis. J'ose glisser quelques doigts sous l'élastique de sa culotte, comme pour éprouver la fourniture de son mont de vénus. Elle ne tarde pas à focaliser son exploration, elle aussi. Sa main effleure mon sexe, encore prisonnier de mon slip, mais bien tendu sous l'effet de tout ce désir qui ne cesse de bouillonner. Sa caresse ne fait qu'empirer le mécanisme...
Heureusement, bientôt, elle le libère... J'adore ce moment où mon sexe bandé de désir se trouve libéré de son piège de tissu par des mains aimantes. Pendant qu'elle caresse cet organe désormais au grand air, j'enlève sa culotte, exhibant ainsi un joli sexe ceinturé d'une toison toute douce. Ses petites lèvres proéminantes semblent être dans l'attente de quelque offrande. Je découvre ce nouveau trésor, avec mes doigts, mes mains, et ma langue, qui se régale de tant de bonnes choses. Bien vite le clitoris est mis à jour. Elle gémit sous mes caresses, son corps est secoué de spasmes de plaisir. Je m'arrête juste avant le paroxysme, délaissant le creuset du plaisir quelques secondes... Pour y revenir bientôt. Ma langue explore tout ce qu'elle peut explorer, de son clitoris à la mystérieuse ouverture de son vagin. Mes lèvres se collent aux siennes dans un baiser fougueux, démeusuré, sans queue ni tête. Elle est au bord de l'orgasme, me tire bientôt vers le haut, ramenant ma tête vers la sienne, mes lèvres retrouvant ainsi d'autres lèvres plus symétriques.
Par ce jeu de translation, mon sexe se trouve bientôt à hauteur du sien. Nous sommes tout collés l'un contre l'autre... C'est là que mon esprit rationnel vient mettre son grain de sel : comment dit-on "capote" en italien ? Car c'est en train de déraper... "condom" ? "preservativo" ? Elle comprend. Elle se lève, rompant ainsi le charme pour aller en chercher. Car forcément, je n'en ai pas, moi. Elle revient. Reste à retrouver cet état extatique qui précédait la pause pratique. C'est rapide, le désir est toujours là, il suffit de le rappeler doucement pour qu'il ne tarde pas à se manifester de nouveau avec plus de fougue qu'auparavant.
Je lui propose de me mettre elle-même la capote. Ce qu'elle s'empresse de faire avec une grande expertise ! C'est ainsi couvert, que nous reprenons ou nous en étions... Ce baiser... Mon corps tout contre son corps. Ses seins qui se pressent contre ma poitrine. L'extase... Mon sexe contre le sien. Et par un mécanisme indépendant de toute volonté, voila que mon pénis trouve le chemin de son vagin tout seul... Il pénètre tout doucement, dans cette antre sombre et humide, cette caverne des plaisirs. Trop doucement ? Je sens bientôt une paire de mains sur mes fesses, qui tentent d'accélérer le processus ! C'est ainsi que je suis rapidement entièrement en elle... Nous faisons l'amour ! Nous échangeons les plaisirs ! C'est si bon, j'aimerais que ces secondes deviennent des minutes, ces minutes des heures... Rester à jamais comme ça... Ne plus bouger, rester en elle pour l'éternite... Mais la nature ne l'entend pas de cette oreille. Il faut bouger pour peut-être déclencher quelque mécanisme. Nous bougeons, entamons un ample mouvement. Mon sexe coulisse dans le sien, nous sommes aux anges.
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