Mons Veneris, histoires et récits érotiques
Nous faisions connaissance par mails interposés, la demoiselle était très gentille, mais plutôt bien en chair comme j'ai pu le constater dès la première image d'elle que je reçu. Néanmoins, son
visage angélique me plaisait. Elle habitait dans une banlieue parisienne en bord de la cambrousse, mais accessible en train. Nous prîmes ainsi rendez-vous pour un après-midi, entre deux
trains.
Voilà comment je me suis retrouvé dans un petit TER qui traçait sa route à travers une campagne qui arborait encore les stigmates de l'hiver... La demoiselle m'attendait à la gare avec sa voiture. Un chouette visage, mais ronde, de fait. Bon, alea jacta est, nous verrons bien.
Petit appartement au troisième étage. Petit standing. Elle m'offre un verre. On s'installe sur le canapé, on papote. J'avoue que je reste un peu cois. C'est elle qui finalement prend les choses en main, elle se rapproche de moi. M'embrasse. Ses lèvres sont d'une étonnante douceur. Par contre sa bouche est celle d'une fumeuse. Beurk... Je mettrais trois jours à me débarrasser de ce goût infâme dans la bouche. Je fais fi de cela et lui retourne sa somptueuse pelle.
Nous nous translatons dans sa chambre, sur son lit. Nous savons tous les deux pourquoi nous sommes là, donc pas d'ambiguïté sur ce point. Je l'effeuille. Elle me déshabille. Je l'embrasse tout en caressant ses impressionnantes mamelles. Son ventre qui se cache sous d'innombrables replis. Sa peau est d'une incroyable douceur. C'est divinement agréable. Ma main se dirige rapidement vers son sexe. Je le caresse avec mes doigts. Ses lèvres, son clitoris, délicatement. Je la pénètre de l'index. Elle est toute humide d'excitation. Moi, je bande. Je caresse doucement son vagin de l'intérieur. Bientôt quelques gémissements s'échappent de ses lèvres... Elle m'avoue, penaude, qu'elle vient de jouir...
À peine remise de ses émotions, elle se dirige vers mon bas-ventre et englouti mon sexe dans sa bouche. Elle le suce divinement bien. J'adore. Ma verge se tend encore un peu si tant est que ce soit possible. Elle me prévient qu'elle n'aime pas avaler. J'ai juste le temps de la prévenir que je vais venir. Que je viens. J'éjacule puissamment, nous sommes tous deux copieusement arrosés ! On en rigole !
Nous restons ainsi, nus, côte à côte, on discute de choses et d'autres. C'est une fille d'une incroyable douceur et gentillesse. Puis un peu plus tard, elle reprend l'initiative des caresses... Bientôt, je constate avec stupéfaction que je bande à nouveau.Elle s'éclipse chercher quelques préservatifs... Je recouvre mon sexe de son capuchon. Ainsi couvert, je la pénètre doucement. Je vais et je viens, puis à nouveau, j'explose. Elle n'aura pas le temps d'atteindre l'orgasme, cette fois-ci...
Nouvel intermède. Reprendre du poil de la bête. On papote. Une petite dernière, pour la route avant de m'en retourner... Elle me présente son arrière-train, me prévient qu'elle ne « fait pas d'anal, » je l'embroche en levrette. J'adore cette position, visiblement elle aussi ! Ses gémissements se transforment bientôt en râles, puis ses râles en jouissance... J'éjacule peu après son orgasme.
Repus, nous sommes. Je vais rapidement prendre une petite douche, puis la demoiselle me raccompagne à la gare...
J'ai trompé ma femme. J'ai eu quelques craintes avec la sournoise odeur de parfum féminin qui imprégnait mes vêtements, avec ce goût de tabac froid qui m'est resté collé à la bouche quelques temps.
Voilà. Cela fait déjà plusieurs temps, je n'ai pas revu la demoiselle, la combinaison tabac plus plis et replis ne m'a pas beaucoup incité à le faire, j'avoue.
Envie de recommencer, avec quelqu'un que je désirerais vraiment... Tant de femme infiniment désirables croisent chaque jour mon chemin, alors...
Voilà comment je me suis retrouvé dans un petit TER qui traçait sa route à travers une campagne qui arborait encore les stigmates de l'hiver... La demoiselle m'attendait à la gare avec sa voiture. Un chouette visage, mais ronde, de fait. Bon, alea jacta est, nous verrons bien.
Petit appartement au troisième étage. Petit standing. Elle m'offre un verre. On s'installe sur le canapé, on papote. J'avoue que je reste un peu cois. C'est elle qui finalement prend les choses en main, elle se rapproche de moi. M'embrasse. Ses lèvres sont d'une étonnante douceur. Par contre sa bouche est celle d'une fumeuse. Beurk... Je mettrais trois jours à me débarrasser de ce goût infâme dans la bouche. Je fais fi de cela et lui retourne sa somptueuse pelle.
Nous nous translatons dans sa chambre, sur son lit. Nous savons tous les deux pourquoi nous sommes là, donc pas d'ambiguïté sur ce point. Je l'effeuille. Elle me déshabille. Je l'embrasse tout en caressant ses impressionnantes mamelles. Son ventre qui se cache sous d'innombrables replis. Sa peau est d'une incroyable douceur. C'est divinement agréable. Ma main se dirige rapidement vers son sexe. Je le caresse avec mes doigts. Ses lèvres, son clitoris, délicatement. Je la pénètre de l'index. Elle est toute humide d'excitation. Moi, je bande. Je caresse doucement son vagin de l'intérieur. Bientôt quelques gémissements s'échappent de ses lèvres... Elle m'avoue, penaude, qu'elle vient de jouir...
À peine remise de ses émotions, elle se dirige vers mon bas-ventre et englouti mon sexe dans sa bouche. Elle le suce divinement bien. J'adore. Ma verge se tend encore un peu si tant est que ce soit possible. Elle me prévient qu'elle n'aime pas avaler. J'ai juste le temps de la prévenir que je vais venir. Que je viens. J'éjacule puissamment, nous sommes tous deux copieusement arrosés ! On en rigole !
Nous restons ainsi, nus, côte à côte, on discute de choses et d'autres. C'est une fille d'une incroyable douceur et gentillesse. Puis un peu plus tard, elle reprend l'initiative des caresses... Bientôt, je constate avec stupéfaction que je bande à nouveau.Elle s'éclipse chercher quelques préservatifs... Je recouvre mon sexe de son capuchon. Ainsi couvert, je la pénètre doucement. Je vais et je viens, puis à nouveau, j'explose. Elle n'aura pas le temps d'atteindre l'orgasme, cette fois-ci...
Nouvel intermède. Reprendre du poil de la bête. On papote. Une petite dernière, pour la route avant de m'en retourner... Elle me présente son arrière-train, me prévient qu'elle ne « fait pas d'anal, » je l'embroche en levrette. J'adore cette position, visiblement elle aussi ! Ses gémissements se transforment bientôt en râles, puis ses râles en jouissance... J'éjacule peu après son orgasme.
Repus, nous sommes. Je vais rapidement prendre une petite douche, puis la demoiselle me raccompagne à la gare...
J'ai trompé ma femme. J'ai eu quelques craintes avec la sournoise odeur de parfum féminin qui imprégnait mes vêtements, avec ce goût de tabac froid qui m'est resté collé à la bouche quelques temps.
Voilà. Cela fait déjà plusieurs temps, je n'ai pas revu la demoiselle, la combinaison tabac plus plis et replis ne m'a pas beaucoup incité à le faire, j'avoue.
Envie de recommencer, avec quelqu'un que je désirerais vraiment... Tant de femme infiniment désirables croisent chaque jour mon chemin, alors...
Mer 7 mai 2014
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